samedi, avril 21, 2018

Une Apple Watch indépendante à la fin de l'année

Au début du mois d’octobre, le site The Bell affirmait qu’Apple et LG travaillaient ensemble à la création d’écrans Oled flexibles pour les prochains iPhone. Ce genre de rumeur ne date pas d’hier, mais cette fois, un brevet déposé par la firme à la pomme en septembre 2016 et publié le 23 novembre dernier vient donner du poids aux bruits de couloir.

En effet, le document décrit, en utilisant le conditionnel, des appareils à l’écran et au boîtier pliables. Néanmoins, la société s’en tient aux termes « appareil à écran flexible », précisant même qu’il pourrait aussi bien s’agir « d’un ordinateur portable, d’une tablette, d’un téléphone cellulaire, d’une montre, ou d’un autre appareil électronique ». Quoi qu’il en soit, on a du mal à imaginer ce genre d’appareil débarquer l’année prochaine. D’ailleurs, n’oubliez pas qu’un brevet ne garantit en rien son application commerciale.

Le premier à sortir un smartphone pliable pourrait être le rival coréen d’Apple en revanche. Cela fait bien longtemps que Samsung y travaille, mais ces derniers temps, les rumeurs au sujet d’un « Galaxy X » pliable se font de plus en plus insistantes. Celui-ci a même fait une apparition sur le site officiel de Samsung, et certains évoquent désormais une présentation lors du CES 2018 en janvier prochain.

Facebook a pris le virage de la vidéo il y a plusieurs années, et jusqu'à présent on peut dire que l'essai a été transformé. Pour aller encore plus loin, la firme annonce aujourd'hui Watch, une plateforme regroupant des contenus exclusifs, qui seront diffusés soit en direct, soit en différé, peut-on lire sur le blog officiel de Facebook. Autrement dit, Mark Zuckerberg tente de faire un petit mélange de YouTube et Netflix dans son coin.

La plateforme est ouverte à l'ensemble des créateurs de vidéo, ils pourront y trouver une audience et surtout "recruter" de nouveaux spectateurs. Watch fera en sorte de recommander de contenu en fonction des centres d'intérêt de l'utilisateur, mais aussi de ce que regardent ses amis, et les vidéos les plus populaires. On pourra également trouver les programmes les plus commentés, ou qui "ont fait le plus rire". On image que Facebook se basera sur les "réactions" que l'on trouve désormais à côté des Likes.

Pour le lancement de sa nouvelle plateforme, Facebook a noué des partenariats avec créateur ou diffuseurs de contenu, on pourra par exemple y regarder un match de la "Major League Baseball" et des célébrités pourront également y faire leur show. Le rappeur Nas est par exemple cité, on pourra le voir répondre en direct à des questions de fans. Passionnant. La fonctionnalité sera lancée prochainement à une petite quantité d'utilisateurs aux USA avant de se déployer à plus grande échelle les semaines et mois suivants.

L'Apple Watch a beau être la smartwatch la plus vendue, elle est loin d'être exempte de défaut. Comme ses concurrentes, on lui reproche souvent une trop grande dépendance à l'iPhone de l'utilisateur pour fonctionner correctement. Si les choses se sont améliorées sur la Series 2, avec l'ajout d'un GPS, elle perd tout de même beaucoup de son intérêt dès lors qu'elle ne peut communiquer avec l'iPhone, ne serait-ce que pour utiliser Siri et a fortiori passer des appels et envoyer des messaes.

Mais Apple aurait prévu une parade pour l'Apple Watch 3, qui devrait selon toute vraisemblance arriver en même temps que les iPhone 7S et X Edition : une Apple Watch indépendante, capable de se connecter seule au réseau 4G. C'est ce qu'indique Bloomberg en citant une source "proche de la situation". Cela serait rendu possible grâce à un modem LTE logé à l'intérieur. Ce dernier serait conçu par Intel.

À la clef, la possibilité de se passer plus ou moins totalement de son téléphone pour les utilisations classiques : appels, SMS, Siri, mail, mais aussi des choses un peu plus exotiques comme télécharger de la musique et l'écouter en streaming, via Apple Music sans aucun doute, et peut-être d'autres services tels que Spotify ou Deezer. On ne sait pas en revanche quel sera l'impact de se modem sur le design du produit. Si le composant n'est pas volumineux, il consomme plus d'énergie que le Bluetooth, ce qui implique une plus grosse batterie... ou une autonomie réduite.

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Elle n’est pour le moment pas disponible en France

Les plus Un son excellent qui peut emplir une pièce, les microphones répondent très bien même avec de la musique

Les moins Le son peut être un petit peu trop brut, notamment sur les lignes de guitare qui sont parfois trop perçantes. Si vous cherchez seulement une enceinte connectée pour un fond sonore, dépensez moitié moins pour une Sonos One

Sommaire Trop chère pour en faire un produit de masse, la Home Max de Google n’en est pas moins l’enceinte intelligente avec le meilleur son. Pour les "audiophiles" peut être, les autres préférons la petit Google Home Mini, aussi efficace pour un tarif moindre.

La Home Max de Google n’est pas la première enceinte connectée à mettre l’emphase sur la qualité audio, mais le son qu’elle délivre est meilleur que tout ce que nous avons entendu jusqu’à présent. Ce qui est la moindre des choses étant donné qu’elle coûte deux fois plus cher que notre modèle favori, la Sonos One et plus de 6 fois que la taulière du marché, la Google Home Mini. La Home Max est vendue 399 dollars (334 euros au cours actuel) aux États-Unis.

Comme ses petites sœurs plus abordables, les Google Home et Home Mini, la Max est conçue pour le Google Assistant que l’on contrôle à la voix en l’interpelant avec un « Ok Google ». Les microphones de la Home Max sont très performants et peuvent entendre même lorsque la musique est forte. Cela dit, si vous cherchez une enceinte juste pour produire un fond sonore ou si le son qu’offrent la Google Home ou l’Echo d’Amazon vous semble acceptable, alors la Max n’est pas faite pour vous. En effet, elle s’adresse à ceux qui veulent un son plus puissant et riche.

Ses véritables concurrents sont plutôt des enceintes sans fil classiques comme la Play :5 de Sonos ou la SoundTouch 30 de Bose. Lors de notre essai comparatif, la Home Max a aisément surclassé l’enceinte Bose et fait jeu égal avec la Sonos dans plusieurs domaines, notamment pour la scène sonore spacieuse qui emplit facilement une pièce. Mais nous avons une légère préférence pour la Play :5 qui se montre moins incisive avec certains styles de musique. Mais ce sont deux enceintes excellentes qui ont obtenu la même note pour la qualité audio.

Bien entendu, les audiophiles préfèreront investir dans un véritable système stéréo qui offrira une qualité et une dynamique supérieures. Il est tout de même possible d’associer deux Home Max mais l’addition est salée et le résultat pas vraiment satisfaisant. En revanche, deux Sonos One s’accordent parfaitement et coutent le prix d’une seule Max. Précisons en outre que Sonos intègrera prochainement Google Assistant dans son enceinte d’entrée de gamme. A choisir, nous opterions sans hésiter pour une paire de Sonos One plutôt qu’une seule Home Max.

Mais cette enceinte Google demeure excellente en elle-même, surtout pour ceux qui possèdent déjà des appareils de la marque type Google Home ou Chromecast Audio et veulent créer un ensemble multiroom. Mais redisons-le, une (ou deux) Sonos One est un meilleur choix pour la plupart des usagers qui cherchent juste une enceinte connectée avec un son plus performant.

Reprenant le design minimaliste de la Home Mini et du casque de réalité virtuelle Daydream View, la Max arbore la même finition en tissu gris (clair ou foncé au choix) en façade et une partie arrière en plastique mat doux au toucher. Sa taille est imposante, presque identique à celle de la Play :5 pour un poids de 5,3 kg. On peut l’installer en position horizontale ou verticale sur un mini plateau en silicone qui se fixe magnétiquement.

Quelques détails sur la fiche tecLa partie supérieure de l’enceinte incorpore une surface tactile pour gérer le volume d’un geste de balayage à droite ou à gauche et la lecture d’un tapotement. La sensibilité tactile semble avoir été abaissée comparée à celle de la Home Mini. Nous avons rencontré quelques difficultés pour régler le volume, mais aucune pour contrôler la lecture.

La Max est compatible Bluetooth et intègre la technologie de diffusion Chromecast de Google. Comme la Home, on retrouve l’assistant vocal maison, la principale différence étant que le son est meilleur. En dehors du fait que l’on puisse associer deux Home Max en stéréo, il n’y a aucune fonctionnalité supplémentaire spécifique, comme c’est le cas sur l’Echo Plus d’Amazon. On peut faire la même chose qu’avec une Google Home, notamment poser des questions à l’assistant, piloter certaines installations domotiques compatibles, lire de la musique depuis des services de streaming, etc.

La réponse de la Home Max aux commandes vocales est excellente. Elle pouvait entendre notre « Ok Google » prononcé d’une voix normale jusqu’à deux mètres de distance.

Signalons que l’enceinte dispose d’une fonction Smart Sound qui se sert des microphones pour calibrer automatiquement le son en fonction de l’emplacement de l’enceinte dans une pièce. Plus pratique que le système Trueplay de Sonos avec lequel il faut promener le smartphone un peu partout pendant 5 minutes. Malgré la présence d’un traitement du signal (DSP), les enceintes compactes tout-en-un sont toutes amenées à faire des compromis pour ce qui est de la qualité audio. Dans le cas de la Home Max, on peut dire qu’elle parvient mieux que les autres à masquer ses défauts. Comme tous les modèles, elle a besoin de quelques réglages pour tirer le meilleur de ses performances. Ainsi, nous avons légèrement augmenté et les basses et éviter de pousser le volume à fond. En tout cas, on peut dire que la Max fait partie des rares enceintes de ce type à être à l’aise avec la plupart des styles musicaux.

Comparée à la Play :5 de Sonos qui excelle pour le rock et la dance, la Home Max délivre un son moins contenu et plus atmosphérique. Le titre « Yulunga (Spirit Dance) de Dead Can Dance nous a offert la meilleure illustration de cette impression, avec un son ample et puissant qui s’étendait bien au-delà de l’enceinte elle-même. Tous les éléments du morceau, de la voix du chanteur en passant par les différentes percussions, étaient traités à égalité sans qu’aucun ne se distingue de façon décalée. Comparées à la Play :5, les basses étaient moins puissantes, mais relativement précises. La Home Max a su saisir la majesté de ce morceau tandis que la Play :5 en a capté l’intensité en restituant des effets en basses fréquences que l’enceinte Google ne rend pas.

Nous sommes ensuite passés sur le morceau de rock « The Bar is Low » de Pissed Jeans. L’entame fut très entrainante, mais au moment d’attaquer le refrain la Home Max a manqué de souffle et elle est devenue un peu lourde. Malgré cela, elle nous a davantage plu que la Play:5 qui n’était pas aussi stimulante sur ce morceau très énergique.

En gnéral, nous préférons la Sonos pour la musique dance. Pourtant, nous avons plus apprécié l’enceinte Google sur le « Get Lucky » de Daft Punk qui offrait un son plus ouvert. Malgré sa fonction de calibrage automatique, il nous a fallu faire un petit réglage, surtout lorsque nous étions assis à une table dans un espace dégagé. Avec la plupart des styles musicaux, augmenter les basses de +3 dB aidait à doper les morceaux de rock et de dance tout en atténuant un peu la brillance.

Le plus gros souci que nous avons rencontré avec le son de la Home Max est le côté potentiellement perçant des médiums. Malheureusement, nous n’avons pas trouvé de réglage pour atténuer le phénomène, même en abaissant les aigus.

Confrontée à la SoundTouch 30 de Bose qui est plus chère, la Home Max s’est là aussi imposée. Ces deux enceintes ont le même profil énergique, mais la Bose ne peut atteindre la même puissance de volume que la Max sans distorsion, même à deux tiers du maximum. Cette dernière ayant tout de même tendance à crachoter lorsqu’on la pousse à fond, nous sommes restés sur un volume à 90% amplement suffisant pour emplir une pièce d’une dizaine de mètres carrés.

Pour finir, nous avons testé les capacités stéréo en associant deux Max entre elles. Malheureusement le résultat fut plutôt décevant, l’effet stéréo manquant de la précision et de la profondeur que l’on est en droit d’atteindre pour un ensemble à 800 dollars ! Surtout lorsque l’on constate les très bonnes performances stéréo d’une paire de Sonos One. Peut-être Google saura-t-il corriger le tir avec une mise à jour logicielle…

Est-ce que la Home Max a les qualités suffisantes pour éloigner les audiophiles de leurs systèmes à deux voies ? Clairement non. C’est une enceinte monobloc sujette à tous les compromis qu’impose ce format. Si vous donnez la priorité aux performances et hésitez entre une paire de Home Max et un système stéréo classique, penchez pour le second.

Mais mettons que vous ne vouliez pas d’enceintes séparées et privilégiez le style épuré du monobloc. S’il vous faut avant tout un fond musical, économisez vos deniers et prenez une Sonos One, une Google Home ou une Home Mini. Pour ceux qui ont un budget confortable, la Home Max est une alternative à la Pay :5 de Sonos en termes de qualité audio et c’est le modèle que nous recommandons dans cette gamme de prix pour ceux qui veulent un système multiroom compatible Chromecast.

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Un nouvel abandon pour l'Apple Watch

Instagram arrête les frais. Le réseau social spécialisé dans le partage de photos et de vidéos ne sera plus disponible sur l’Apple Watch à partir de la version 39 de l’application. Le succès mitigé de la montre connectée d’Apple y est certainement pour quelque chose, toutefois cela s’expliquerait également par une nouvelle contrainte mise en place par la firme à la pomme qui oblige les développeurs à utiliser le nouveau SDK watchOS 2 (ou ultérieure).

Disponible depuis le lancement de l’Apple Watch, Instagram est comme restée figée dans le temps. L’application a rarement été mise à jour, elle est lente, loin d’être agréable à utiliser et il y a eu trop peu de nouvelles fonctionnalités (contrairement à l’application pour smartphone). Il faut dire que l’écran de 1,5 pouce de l’Apple Watch n’est peut-être pas le meilleur support pour apprécier des photos ou des vidéos... Les moins Les bugs de connexion, lenteur du système et de l'interface, mesures de rythme cardiaque très erratique

Sommaire Compatible avec iOS et Android, l'Alcatel OneTouch Watch est une montre abordable au design réussi et qui bénéficie de quelques très bonnes idées. S'avère-t-elle efficace et agréable à utiliser ?

Qu’est-ce qui fait une bonne montre connectée ? Une excellente autonomie, certainement. Être utile, assurément. Être attirante et amusante à utiliser, encore une évidence. C’est une combinaison difficile à trouver et c’est bien pour cette raison qu’il n’y a pas encore de montre connectée parfaite. La OneTouch Watch d’Alcatel apporte quelques très bonnes idées : elle est abordable (99 euros), étanche (IP67), sa batterie tient plusieurs jours et elle est compatible Android (4.3 et suivants) et iOS (iOS 7 et suivants).

Autre excellent point : elle n’a pas de chargeur séparé car un connecteur USB est intégré dans son bracelet. Une idée dont d’autres fabricants pourraient s’inspirer. Ces atouts auraient pu en faire une combinaison idéale, si la montre s'avérait excellente. Mais elle ne l’est pas. Nous l’avons essayé pendant plusieurs jours et elle s’avère être... une montre premier prix. Nous aurions aimé qu’il en soit autrement. La OneTouch ne va pas forcément toucher un grand nombre de gens, mais elle a visé juste dans son positionnement. Pour beaucoup, la OneTouch rappellera beaucoup de modèles de montres circulaires Android Wear comme les Moto 360 ou la G Watch R de LG. Pour sa montre, Alcatel propose des finitions avec bracelet caoutchouc ou métallique, mais ils ne sont pas interchangeables. La montre utilise un logiciel propriétaire et propose trois cadrans : deux à aiguilles et un numérique. Le design noir et blanc fonctionne bien avec les heures qui sont marquées sur le pourtour du cadran et l’application mobile Alcatel permet de changer les fonds d’écran avec des couleurs, des motifs ou même des photos personnelles.

Le bracelet est un peu dur à fixer autour du poignet. Il est assez raide, principalement à cause du fait qu’il intègre un port USB à l’une de ses extrémités. Il nous a fallu un certain temps pour l’ajuster correctement. Le côté rigide n’est pas vraiment pénible, mais on ne peut pas dire que le bracelet soit confortable.

Personne ne se rendra compte que vous n’utilisez pas Android Wear, même si c’est le cas. En effet, l’écran LCD arrondi arbore lui aussi une partie inférieure tronquée comme sur la Moto 360. Mais la OneTouch utilise en fait son propre système d’exploitation. Lorsque l’on tapote sur l’écran, apparaît une grille colorée avec les applications et les fonctions. On retrouve ainsi les classiques chronomètre, météo, luminosité, mode avion… Il est difficile de savoir à quoi sert une icône car elles ne sont pas toujours très intuitives.

L'Alcatel OneTouch Watch propose une application de fitness avec des séances d'entraînement chronométrées. On peut contrôler l’appareil photo de son mobile (sur iOS, il faut au préalable lancer l’application Alcatel), ainsi que le lecteur audio pour afficher le morceau en cours de lecture sur le téléphone, contrôler le volume et changer de titre.

La montre reçoit les notifications du téléphone et permet même de contrôler la réception pour chacune d’elles : Facebook, Twitter, courrier électronique, appels entrants, etc. Sur l’écran, c’est en faisant un geste de balayage vers le haut que l’on fait apparaître les notifications qui sont scindées par type. C’est une idée géniale, mais les notifications se transforment en listes déroulantes. On reçoit rarement de message d’alerte. Au lieu de cela, la montre vibre pour nous inviter à ouvrir la fenêtre de notifications. Au final, le système s'avère moins souple à utiliser que celui de la Pebble par exemple.

Pour naviguer, il faut d’abord toucher l’écran en le balayant puis appuyer sur le bouton latéral. La OneTouch Watch ne possède ni microphone ni haut-parleur, on ne peut donc pas dicter les messages ou prendre des appels téléphoniques. Même avec un écran tactile, L'Alcatel OneTouch watch se montre plus compliquée à manœuvrer que la Pebble avec ses 4 boutons. Mais le plus gros problème que nous avons rencontré avec l’interface reste sa lenteur. Les commandes tactiles étaient parfois inopérantes et la connexion Bluetooth erratique. Nous avons reçu plusieurs mises à jour du microgiciel (firmware) durant notre essai, mais nous avons tout de même constaté que la montre se déconnectait de notre iPhone plus que de normal.

La OneTouch Watch s’associe avec l’application de fitness OneTouch Move. Son interface minimaliste et claire affiche une série de cercles qui mesurent les activités quotidiennes : nombres de pas effectués, calories dépensées, distance parcourue et durée des exercices. Tous ces éléments sont personnalisables et l’on dispose également d’un calendrier qui recense les moments passés à faire des exercices ou à enregistrer son rythme cardiaque.

Le comptage des pas est relativement juste, mais il est tout de même plus généreux que le podomètre de notre iPhone 6 Plus. Le problème vient surtout du capteur optique de rythme cardiaque qui ne fonctionne pas en continu mais en effectuant des relevés intermédiaire. Les données varient beaucoup : 58 bpm (battement par minute) à un moment, 140 à un autre. Difficile de faire confiance à ce à ce capteur. Les mesures des rythmes cardiaques sur la plupart des montres est déjà assez douteuse, mais sur celle-ci elle est pire que tout

Depuis la montre, il est possible de consulter chaque type d’activité depuis son cercle. Cela rappelle le système de l’Apple Watch. Le chronomètre permet de mesurer la durée d’un entraînement de course à pied ainsi que la distance et le nombre de pas effectués. La montre Alcatel n'évalue pas les exercices aussi bien qu'un bon traqueur d’activité. Les fonctions de fitness de la OneTouch sont tout de même plus élaborées que celles de la Pebble et elles soutiennent la comparaison avec ce que propose le système Android Wear. Elle n’intègre aucune fonction sociale pour se connecter avec des amis et elle n’est pas compatible avec des applications tierces comme RunKeeper ou MapMyFitness.

Nous avons pu passer un weekend entier sans recharger la OneTouch Watch. C’est vraiment génial comparé à aux montres sous Android Wear ou l’Apple Watch. Mais l’autonomie est tout de même moins impressionnante que celle de la Pebble.

Il n’y a pas besoin de câble pour recharger la montre car la prise USB est intégrée directement au bracelet, un peu comme le Fuelband de Nike. C’est intelligent, mais la prise semble assez fragile. Que se passe-t-il si elle est endommagée ? On se retrouve alors avec une montre que l’on ne peut plus recharger… On apprécie le concept, mais nous ne sommes pas sûrs que le système soit suffisamment robuste.

Au vu de son prix et de ses fonctions de base, la OneTouch Watch gagne le respect car elle cherche à être vraiment utile. Mais elle n’est pas aussi facile à utiliser que la Pebble ni aussi évoluée que le système Android Wear ou l'Apple Watch. Il s'agit d'une alternative abordable à Android Wear... Sauf que les montres Android Wear sont de plus en plus abordables et pourraient bientôt être compatibles iOS. La Pebble reste meilleure dans bien des domaines et la Pebble Time arrive bientôt. Les clients à la recherche d’une montre connectée premier prix ont beaucoup de choix. Nous ne conseillons pas la OneTouch Watch d’Alcatel, même si elle apporte quelques très bonnes idées.

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On a aimé la Versa malgré ses imperfections

Les plus Légère, compacte, l’interface améliorée au niveau des statistiques de fitness, étanche à 50 mètres, compatible Android et iOS, de nombreuses applications et cadrans à la fois utiles et fun, l’autonomie de plusieurs jours surpasse celle de l’Apple Watch

Les moins L'’autonomie est moindre que celles des autres bracelets Fitbit, les applications et cadrans ne sont pas toujours faciles à charger, le transfert de musique est compliqué et limité, pas de GPS, le chargeur est volumineux

i vous pouvez vous accommoder de ses quelques limitations, la Versa est la meilleure fusion entre une montre connectée et un bracelet d’activité à moins de 200 euros.

Pouvoir porter une montre connectée pour dormir et s’en servir comme réveil matin suppose qu’elle ait une autonomie suffisante. C’est le cas de la nouvelle Versa de Fitbit qui tient plusieurs jours sur une charge. C’est très appréciable et cela nous rappelle les Pebble Watch dont la marque a d’ailleurs été rachetée par Fitbit en 2016. Si l’on devait s’autoriser une métaphore, nous dirions que la Versa est en quelque sorte le fruit d’une union entre l’Apple Watch et une Pebble.

Nous avons passé une semaine à utiliser la montre avec un iPhone X, en recevant des messages et en pratiquant trois entraînements. Elle s’est montrée confortable, discrète et utile. On peut nager avec, elle compte les pas, suit le rythme cardiaque et les entraînements. Tout est excellent. Et jusqu’ici, aucune des fonctions de la Fitbit Ionic, pourtant plus chère, ne nous a manqué. En France, la Versa coûte 199,95 euros.

Alors, est-ce qu’il s’agit là de la meilleure Fitbit jamais sortie ? C’est possible. Mais son autonomie s’est avérée moindre que ce à quoi nous nous attendions : trois jours au lieu des « plus de quatre jours » annoncés. Cela dit, c’est bien mieux que l’Apple Watch. Et bien que la Versa ne possède ni le même niveau d’intégration avec le smartphone, ni GPS ni connexion cellulaire, elle est beaucoup plus abordable. Au final, on adore la manière dont Fitbit a su éliminer tous les extras inutiles de la Ionic pour se concentrer sur l’essentiel. Si donc vous pouvez accepter ses quelques limitations, la Versa est à ce jour la meilleure montre connectée-bracelet de fitness que l’on puisse trouver à ce tarif.

La Versa nous a paru assez petite, mais cette compacité a du bon. Elle est moins volumineuse que l’Apple Watch Series 3 en 42mm tout en étant plus large. L’écran carré est entouré de larges bordures, mais le design nous a tout de même beaucoup plu.

La fonction tactile est nettement plus réactive que sur la Ionic. Il y a en outre trois boutons pour gérer la musique, les notifications, les exercices et alarmes. On peut même personnaliser les clics et les cliscs+appui prolongé pour d’autres actions. Du coup, on accède vite et facilement à ce dont on a besoin, que ce soit pour la partie montre connectée ou la partie fitness. Comme nous le disions en préambule, l’autonomie est largement suffisante pour passer une nuit. On peut se servir du mode réveil et du suivi de sommeil. Autant de choses que Fitbit gère plutôt bien. La montre est étanche à 50 mètres, comme la Ionic et le Flex 2.

L’OS Fitbit a été amélioré par petites touches (mise à jour disponible également pour les possesseurs d’une Ionic). Par exemple, l’interface de commande la lecture de musique depuis le smartphone est devenue plus pratique. Le tableau de bord pour les statistiques de fitness s’est enrichit en données. Pas autant que l’on aimerait mais c’est en tout cas le mieux que Fitbit ait proposé jusqu’à présent. On peut suivre ses progrès hebdomadaires, consulter les derniers entrainements et suivre son rythme cardiaque au repos.

Nous avons comparé les données sur le nombre de pas et le rythme cardiaque à celles d’une Apple Watch et d’une machine elliptique dans une salle de sport. Les résultats étaient similaires et aussi précis.

Fitbit dispose désormais d’un magasin d’applications nommé App Gallery. Il se lance depuis l’application Fitbit. La Ionic y a accès depuis décembre dernier, mais il y a pour le moment moins de contenus compatibles avec la Versa. On en trouve un peu plus d’une cinquantaine (Nest, Philips Hue, Strava, Flipboard, Yelp…) dont quelques bizarreries ainsi que des cadrans qui rappellent la glorieuse époque Pebble.

On trouve aussi pas mal de cadrans : des curieux, des moches et d’autres qui feront le bonheur des nerds. Certains sont gratuits à l’essai puis payants. Mais il y a de toute façon suffisamment de cadrans disponibles, dont beaucoup offrent pas mal d’options (autonomie, météo, statistiques de fitness), pour ne pas avoir à céder à ce commerce.

n peut installer les applications sur la Versa, mais dans le cas des cadrans, c’est seulement un à la fois. C’est d’autant plus ennuyeux que les applications Fitbit sont lentes à charger et requièrent parfois une connexion Wi-Fi qu’il faut activer manuellement depuis la montre.

La Versa ne possède pas la même profondeur dans ses fonctions que l’Apple Watch : on ne peut pas synchroniser facilement de la musique, ni répondre aux messages sous iOS (Android propose des réponses rapides), prendre des appels en mains-libres, solliciter l’assistant vocal, utiliser la navigation assistée.

Si l’enregistrement des entrainements sportifs est aisé, leur lecture n’est pas aussi bonne que sur la montre Apple. Il n’y a pas autant de lignes de statistiques, on ne peut pas consulter l’heure pendant un entrainement et le contrôle de la musique n’est pas pratique. Par ailleurs, le service de Coach Fitbit est payant. Or, tout le monde n’a pas envie d’un abonnement spécial juste pour une montre.

Le stockage de la musique est maigrichon avec seulement 2,5 Go de mémoire. En plus, il faut charger les morceaux depuis un ordinateur, sauf à posséder un abonnement Deezer pour pouvoir synchroniser des listes de lecture. Mais aucune de ces options n’est aussi pratique que ce que proposent la montre Apple, Wear OS de Google ou les Gear de Samsung.

L’autonomie dépend de ce que l’on fait avec la montre. Lors de notre premier essai, elle a tenu 3 jours au lieu des 4 annoncés par Fitbit. D’autres produits de la marque font mieux que cela puisque certains tiennent même une semaine complète. Selon le constructeur, la Versa ne dispose que de 7 heures d’autonomie en lecture de musique, mais nous n’avons pas vérifié cela.

En tout cas, la durée de vie de la Versa est supérieure à celle de l’Apple Watch, mais pas autant que nous le pensions. Et les Pebble tenaient 5 jours voire plus. Quant au chargeur, il s’agit d’un autre format propriétaire qui n’est compatible qu’avec la Versa. En outre, le socle est pratique pour poser la montre sur une table de nuit, mais un peu gros à transporter.

L’autre point important à signaler est l’absence de GPS dont sont pourvues l’Apple Watch Series 3 et la Ionic. Les coureurs qui n’apprécieront pas cette lacune feront mieux de se tourner vers l’un de ces deux modèles ou de regarder chez Garmin. Mais selon nous, la plupart des utilisateurs n’ont pas l’utilité du GPS et le gain de finesse que cela a offert à la Versa en valait la peine. En plus, vous pouvez toujours connecter la montre au GPS de votre smartphone si besoin

Si les défauts mentionnés ci-dessus ne vous gênent pas, la Versa est une montre vraiment confortable, étonnement séduisante et marrante à porter. Et par certains côtés, le fait qu’elle ne soit aussi profondément liée au smartphone que d’autres montres connectées n’est pas une mauvaise chose, car cela veut dire que nous le sommes nous-mêmes moins. La Versa en devient un bon compagnon, avec juste ce qu’il faut de fonctions connectées. Mais son autonomie moins importante que d’autres produits Fitbit, ses applications lentes à charger et son interface malhabile la desservent. En tout cas, si vous êtes à la recherche d’une montre de fitness à utiliser au quotidien, c’est sans doute la meilleure option en dehors de l’Apple Watch.

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Une grosse montre

Les plus l’une des rares montres connectées à disposer d’une connexion 4G et à faire office de traqueur d’activité.

Les moins aucune fonction suffisamment remarquable pour en faire un produit incontournable pour l’utilisateur moyen, un peu trop volumineuse alors que l’écran de 1,2 pouce est trop petit

Sommaire Dans la catégorie des montres connectées, la Watch 2 de Huawei est un très bon modèle. Mais cela ne veut pas dire qu’il faut absolument l’acheter si l’on n’est pas déjà convaincu par le concept.

L’Apple Watch Series 3 propose une connexion 4G qui permet de recevoir les appels téléphoniques, les notifications et autres sans avoir besoin de son iPhone. Mais elle n’est compatible qu’avec iOS, ce qui laisse les utilisateurs Android sur la touche. C’est là que Huawei tente de tirer son épingle du jeu avec sa Watch 2, l’une des rares montres connectées sous Android à proposer une connexion cellulaire.

En France, elle est disponible à 280 euros via l’opérateur Orange qui propose un forfait spécial qui permet d’utiliser une deuxième carte SIM avec le même numéro de téléphone.

D’aspect, la Watch 2 est assez ressemblante à la Gear S3 de Samsung, le cadran rotatif en moins. On est sur un style classique de montre de sport. Personnellement, nous l’avons trouvé un peu trop volumineuse, mais nous avons reçu pas mal de compliments en la portant. Disons qu’elle conviendra bien aux hommes dotés de poignés assez larges, ce qui compensera un peu le côté massif.

Comme sur l’Apple Watch Series 3, c’est bien la connexion cellulaire qui est l’argument de vente principal de la montre Huawei. Reste à savoir si vous en avez réellement besoin. En effet, les montres connectées doivent encore prouver qu’elles peuvent être des outils indispensables de notre quotidien. Un modèle dans lequel on peut glisser une carte SIM semble aller dans la bonne direction. Mais pour nous au final, cela ne fait pas une grande différence car nous ne nous séparons jamais de notre smartphone et une montre avec connexion cellulaire ne nous est pas utile. Mais il s’agit là de notre cas personnel.

Pour trouver l’intérêt de cette option, il faut faire des activités qui nécessitent une connexion Internet et où un téléphone mobile est gênant : courir ou faire du vélo en écoutant de la musique tout en restant joignable sans avoir à lester ses poches d’un mobile. C’est le seul scénario que nous avons trouvé.

La Watch 2 tourne sous Android Wear 2.0. Les seules applications compatibles 4G sont Uber, Google Play Music, Facebook Messenger et Foursquare. Avec Uber, vous pourrez commander une voiture avec la montre si votre téléphone tombe en panne de batterie. Avec Google Play Music, vous pourrez écouter de la musique sans avoir besoin d’emporter votre télphone, ce qui est génial. D’ailleurs, on se demande pourquoi Spotify et d’autres applications de streaming ne proposent pas cette option.

La Watch 2 vous permet aussi de recevoir des messages et de passer des appels. Et cela marche plutôt très bien. Nos interlocuteurs n’ont pas remarqué que nous ne parlions pas depuis notre téléphone.

La montre Huawei est également dotée d’une puce NFC qui permet d’utiliser le paiement sans contact via Android Pay, mais celui-ci n’est pas encore disponible dans l’Hexagone.

Les principaux concurrents Samsung, Apple et Fitbit ont tous sorti des modèles de montres plus fines que celle de Huawei. La Watch 2 est une grosse montre. Il n’y a rien de mal à cela, mais c’est avant tout une question de goût. Et même si vous aimez les grosses montres, vous n’aimerez sans doute pas la bordure du cadran imposante dans laquelle l’écran s’enfonce un peu trop profondément.

Mais malgré sa taille, elle est tout de même belle à regarder. On peut la personnaliser avec une collection de cadrans sympathiques. Il y a deux boutons sur le boitier : retour et démarrage d’un entrainement.

L’écran tactile 1,2 pouces est un peu plus petit que celui de la Gear S3 et de l’Apple Watch 3. Mais il a l’air encore plus réduit tant il est enclavé par la bordure. Il y a un peu le même problème sur la Gear S3 mais il est moins criant car la bague sert aussi pour naviguer dans l’interface. Dans le cas de la Watch 2, on se repose davantage sur l’écran,

La Watch 2 est plutôt bien pourvue pour ce qui est du fitness avec le suivi du rythme cardiaque et un GPS. Elle peut aussi mesurer la V02 Max.

Huawei y a incorporé un peu de coaching pour améliorer son cardio et des algorithmes pour suivre le métabolisme. Mais il faut essentiellement passer par l’application Huawei Wear qui est assez facile à utiliser. En revanche, il est dommage que la montre ne soit pas étanche. La Watch 2 est une bonne montre connectée. Tout ce qu’elle fait, elle le fait bien. De plus, nous avons trouvé Android Wear 2.0 plus fluide à l’usage que Tizen, l’OS Samsung de la Gear S3. Si vous êtes un coureur qui veut rester connecté sans avoir à emporter son smartphone, ou que vous avez un autre usage spécifique pour la connexion 4G, alors la montre Huawei est une bonne option. Surtout si vous êtes sous Android.

Mais nous avons nos réserves. Vous aurez les mêmes problèmes qu’avec toutes les montres connectées : il faut la charger tous les deux jours et aucune des fonctions qu’elle propose n’est essentielle. C’est là où nous en sommes aujourd’hui avec les montres connectées. On peut leur trouver une utilité, à partir du moment où l’on est déjà séduit par le concept. Mais il n’y a pas assez de substance pour que le consommateur qui n’est pas geek dans l’âme se décide à acheter. Est-ce que la Watch 2 de Huawei est une bonne montre ? Oui. Est-ce vous avez besoin d’une telle montre ? Probablement pas.

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L’Apple Watch peut-elle réussir là où les autres ont échoué ?

L’Apple Watch est déclinée en trois modèles, deux tailles de boîtier et six finitions différentes accompagnées de bracelets interchangeables. Les prix vont de 399 euros à 18 000 euros pour le modèle 38 mm en or jaune ou rose 18 carats. Elle a été pensée pour être le produit Apple le plus personnel : un objet autant de mode, de luxe que de technologie. Les produits Apple ont incontestablement un côté "fashion" depuis des années, mais désormais la marque veut que ces montres deviennent aussi des bijoux.

Peut-être qu'un jour, les montres connectées seront des smartphones autonomes à part entière ou bien une extension "universelle" faisant le lien entre les téléphones, la maison et d’autres appareils connectés. Pour le moment, ce sont des accessoires pour smartphones. C’est précisément ce qu’est l’Apple Watch. Le constructeur l’a pensé pour nous aider à moins consulter notre mobile.

Il s'agit plutôt d'une extension de l'univers d'Apple sur un mini écran déporté. L'Apple Watch remplace-t-elle le téléphone ? Change-t-elle les habitudes ? Il est encore trop tôt pour le dire, mais cela se pourrait.

Notre test reflète l'usage de l'Apple Watch pendant une semaine, portée tous les jours et faire tout ce qui nous passait par la tête : suivre nos déplacements à pied, notre rythme cardiaque, payer nos repas, écouter de la musique, discuter, consulter les mails, les actualités, chercher un "Uber", naviguer en voiture, piloter un Apple TV...

L'Apple Watch est une jolie montre prometteuse. C’est l’objet connecté le plus ambitieux qui existe à ce jour. Mais en essayant de tout faire dès la première génération, la montre d'Apple laisse encore beaucoup à désirer. Sa faible autonomie comparée à d’autres montres et ses tarifs plus élevés sont les principaux griefs. Mais Apple vient juste de se lancer et la route est longue.

Comme la plupart des montres connectées, l’Apple Watch n’est pas un appareil autonome. C’est un accessoire pour le téléphone. LG G Watch R, Asus ZenWatch, Samsung Gear, Pebble et les autres modèles fonctionnent de la même manière. Mais dans le cas de l’Apple Watch, il faut posséder au minimum un iPhone 5. Quelques fonctions sont autonomes, mais la montre est avant tout une extension du smartphone, un second écran et plus simplement une autre manière d’aborder iOS. C’est une symbiose.

Communications, fitness, information, heure : voici les fonctions clefs de la Watch. Mais celle-ci est beaucoup plus ambitieuse, car elle embarque de nombreuses fonctions et applications. Cela rappelle les Gear de Samsung, mais en plus abouti.

L’Apple Watch peut recevoir et envoyer des messages que l’on peut dicter. Elle permet de passer des appels téléphoniques sur haut-parleur, d’envoyer des émoticônes animés, les battements de son cœur ou un dessin. Elle compte le nombre de pas effectués, enregistre les séances de course à pied et surveille le rythme cardiaque. Et bien sûr, on peut utiliser la Watch pour écouter de la musique avec des écouteurs Bluetooth. On lit les morceaux comme sur iPod, on reçoit des notifications et on utilise des applications comme sur un iPhone miniature. Dans les pays où le service est en place, il est possible de faire des achats avec Apple Pay. En prime, la montre arbore un écran tactile inédit, qui distingue le toucher et la pression.

Comme toutes les montres, elle donne l'heure. Mais encore une fois, cette l'Apple Watch a besoin d’un iPhone pour réellement fonctionner. Il lui faut aussi être à portée de Bluetooth ou de Wi-Fi.

Apple veut que sa Watch soit considérée comme un bijou. C’est peut-être un peu exagéré, mais en termes de qualité de fabrication, il n’y a pas d’équivalent sur le marché. Elégante et sobre, l'Apple Watch avec sa forme rectangulaire fait presque simple et banale comparée aux grosses montres circulaires sous Android Wear. C’est clairement un iPod Nano remanié. Mais en regardant de plus près, on constate l’excellence de sa conception. Notre modèle d’essai était une Watch en acier avec un bracelet métallique, une configuration à 1 100 euros. Nous avons également utilisé deux autres bracelets sport, un blanc et un bleu.

La montre peut paraître un peu volumineuse comparée aux gadgets Apple habituellement sveltes. Mais une fois au poignet elle se révèle relativement discrète (tout dépendra du poignet). Le boîtier 42 mm (le plus grand des deux) a des dimensions similaires à celles de la Pebble Steel qui est l’une des plus petites montres connectées du marché. La version 38 mm est encore plus petite. Le modèle 42 mm essayé s'avère confortable.

La forme rectangulaire et arrondie de la Watch fera débat. Certains vont l’adorer, d’autres non. D’autres encore déploreront qu’elle ne soit pas circulaire ou plus fine. Certains n’aimeront pas le verre (ou cristal de saphir) arrondi qui recouvre les bords et risque de se rayer à la moindre occasion. Notre modèle d’essai ne s’est pas rayé en une semaine. Mais il faut préciser encore une fois qu'il s'agissait d'un modèle avec un boîtier acier et un verre saphir, pas le modèle sport en aluminium et verre renforcé.

La "couronne numérique", l’interface spécialement conçue par Apple pour interagir avec la montre, se situe sur le côté et ressemble au remontoir des montres anciennes. Sauf qu’il s’agit d’une molette de défilement avec laquelle il est possible de cliquer. Un second bouton, sous la couronne, sert à accéder aux contacts favoris ou à activer Apple Pay d’un double clic. L’essentiel de la navigation s'effectue sur l’écran en balayant ou en tapotant, mais la couronne peut servir à naviguer dans certaines applications ou bien aussi à remplacer le geste pincer pour zoomer. Un outil de navigation qui nécessite un temps d'adaptation, l'écran tactile reste le plus intuitif.

Toutes les Apple Watch sont dotées d’un nouveau processeur S1, d’un moteur haptique appelé "Taptic Engine" et d’un écran OLED très lumineux, sensible à la pression et au toucher. La montre dispose en outre d’un accéléromètre, d’un gyroscope, d’un détecteur de fréquence cardiaque, mais pas de GPS. Elle utilise du Bluetooth 4.0 et du Wi-Fi 802.11b/g/n pour se connecter à un téléphone ou un réseau domestique. Elle intègre un haut-parleur et un micro, mais pas de prise casque.

L’ancien iPod Nano présentait les applications sous forme de grille, comme un iPhone. La Gear de Samsung a adopté la même approche. Android Wear démarre sur un écran vide sur lequel s’affichent les notifications tandis que les applications sont cachées dans un menu déroulant. L’Apple Watch a ses cadrans principaux, mais aussi deux niveaux d’applications : un accès rapide et un accès complet. Un geste de balayage vers le haut ouvre l’accès rapide, un autre vers le bas ouvre les notifications comme les SMS, les alertes Twitter / Facebook. Il suffit de presser sur la couronne pour accéder à la grille d’applications que l’on voit dans toutes les publicités. Apple a consacré beaucoup de temps à créer sa collection de cadrans. Des efforts qui portent leurs fruits : ils sont magnifiques. Les cadrans de l'Apple Watch sont malins et utiles : un chronomètre peut se personnaliser, un cycle solaire montre les horaires des couchers et levers de soleil présentés avec des arcs qui changent en fonction des saisons, un cadran planétaire montre la Terre et la Lune mais en les éclairant de manière à refléter le jour, la nuit et les cycles lunaires. Il est possible de voir toutes les planètes dans leur alignement en cours, ou tourner la couronne et voir leurs positions changer par date.

Les cadrans sont personnalisables jusqu’à un certain point. On peut ajouter des nombres, changer les couleurs et modifier les complications. On peut voir le niveau de batterie, les évènements de calendrier, l’activité physique quotidienne. Il suffit de tapoter sur ces informations pour ouvrir l’application. Pour le moment, les cadrans et les extensions tierces ne sont pas acceptés. Cette situation devrait changer avec le temps, mais pour l’instant, cela limite les possibilités. Il est aussi curieux de voir que les 10 cadrans proposés ont tous un design arrondi alors que la montre est rectangulaire.

Il y a différentes manières de consulter les informations distillées par l’Apple Watch. Les notifications apparaissent sur l’écran comme sur la plupart des montres connectées. Un geste de balayage vers le bas permet de les consulter ou de les supprimer. Il y aussi les coups d’œil, des mini-fiches d’information qui fonctionnent comme les widgets sur iOS 8 et Mac OS X Yosemite. La majorité des applications fonctionnent avec ce système : le niveau de batterie, la météo, le lecteur de musique, les actualités…

Le premier jour de notre essai, nous avons senti quelque chose toquer au poignet et entendu un son métallique. Le "Taptic Engine" et le haut-parleur intégré de la montre distillent une série de vibrations et de tapotements accompagnés de sons. À la différence des vibrations que produit un smartphone, les effets haptiques sont plus nets et détaillés. Le système sert à distinguer les notifications, mais les reconnaître en y associant des sensations et des sons demande une certaine habitude. L’une des choses appréciables à propos des notifications est que l’on peut les gérer individuellement comme sur l’iPhone. On peut aussi les paramétrer différemment que sur l’iPhone en fonction de ses besoins.

Il s’avère que Siri, une fonction que nous utilisons rarement iPhone, est remarquablement utile sur l’Apple Watch. Comme Google Now sur Android Wear, Siri est un moyen simple et rapide lancer des actions en évitant la navigation tactile dans les menus : ouvrir des applications, envoyer des messages, faire une recherche sur Internet ou encore utiliser le guidage vocal. Siri s’active en restant appuyé sur la couronne ou en levant le poignet et en prononçant "Dis Siri" (l'équivalent du Ok Google dans le monde d'iOS). La reconnaissance vocale est excellente, étonnamment rapide et pratique. Comme sur l’iPhone, on peut lui demander les horaires de séances de cinéma ou des résultats sportifs. Au début du test, nous ne nous en servions que très rarement mais au fil du test son usage s'est imposé.

Apple a prévu un éventail varié de moyens de communiquer. Lorsque l’on appuie sur le bouton plat de la montre, on trouve les contacts favoris disposés en cercle que l’on peut appeler par haut-parleur ou via des écouteurs sans fil et joindre par SMS.

On peut aussi utiliser la fonction Digital Touch pour envoyer un message spécial à ceux qui possèdent aussi une Watch : un dessin tracé au doigt, toquer sur la montre de son interlocuteur ou lui envoyer un extrait de son rythme cardiaque.

Les fonctions d’appel et haut-parleur sont identiques à celles que propose la Gear de Samsung. La montre se connecte au téléphone par liaison sans fil. Le microphone de la Watch s'avère excellent : les gens appelés entendent clairement et ne remarquent pas que l'appel ne provient pas d'un téléphone. Il faut, en revanche, souvent approcher la montre de son visage pour entendre son interlocuteur. Il est possible de faire appel à des écouteurs Bluetooth. Curieusement, il n’est pas possible de se servir de la Watch pour passer des appels lorsque le téléphone est dans la poche et branché à des écouteurs filaires. Pour envoyer des messages, on peut dicter des SMS ou enregistrer des messages audio (comme sur l’iPhone avec iOS 8). Il n’y a pas de clavier virtuel mais Apple a élaboré des réponses prédéfinies que l’on peut personnaliser.

La montre dispose d’une collection d’emojis animés : des smileys qui rigolent, tirent la langue, pouce vers le haut, vers le bas... L’expression des emojis et leur humeur peuvent être changés du bout des doigts.

L’iPhone et l’iPad disposent de l’une des plus étonnantes collections d’applications jamais créée. Jeux, productivité, musique, vidéo, photo, divertissement en tout genre... Sur l’Apple Watch il vaut mieux, pour le moment, modérer ses attentes. Beaucoup d’applications disponibles sont des adaptations édulcorées des versions d’origine. Mais pour une montre connectée, c’est déjà un assortiment très prometteur.

Ces applications pour l’Apple Watch rappellent celles des débuts de l’iPhone : des menus simples, des fonctions basiques, des interfaces communes. Apple suggère que les applications de la Watch sont pensées pour des interactions de 5 à 10 secondes et cela se ressent dans le design.

Sur les 33 applications testées, nos préférées sont Twitter, Evernote, le New-York Times, CNN et TripAdvisor. Mais aucune d’entre elles n’est aussi bien conçue que les applications natives d'Apple.

Toutes les applications tierces fonctionnent avec une extension qui se charge sur la montre tandis que la version originale est active sur l’iPhone. Un système similaire à celui d’Android Wear. Conséquence directe : une certaine lenteur dans le chargement et la diffusion des données vers la montre. Aucune ne peut fonctionner si la Watch est déconnectée de l’iPhone. Apple travaille à activer des applications natives qui fonctionneront même hors connexion. Mais aucune date n’est avancée pour cette amélioration.

Les applications Apple préinstallées fonctionnent de façon bien plus fluide. L’application Cartes offre une navigation assistée qui s'est parfaitement associée l’iPhone relié au système Bluetooth de la voiture. Lors du trajet, la montre toquait et tapotait pour m’indiquer à l’avance les changements de direction. À l’écran s’affichaient le prochain virage et sa distance. Nous avons aussi appréciés les applications de fitness d’Apple, le chronomètre et Passbook.

L’application Uber est l’une des plus ambitieuses. Elle affiche le véhicule disponible sur une carte et arbore un bouton pour appeler directement le chauffeur. Mais l’application iPhone offre une meilleure vue des autres voitures disponibles dans le secteur et des temps de trajet estimés.

Nous sommes désormais familier avec les montres connectées. Porter la Watch ne nous a donc pas "surpris". Son processus d’appairage et de configuration s'avère cependant unique. On se sert de l’appareil photo pour viser la montre et lancer l’association avec l’application Apple Watch qui est préinstallée dans iOS 8.2. À partir de là, la montre scanne l’iPhone et récupère les réglages, les contacts et toutes les applications qui sont déjà compatibles "Watch" afin d’en installer des extensions. L’opération prend une quinzaine de minutes depuis un iPhone 6 Plus, mais il faut dire que nous avons beaucoup d'applications.

L’application Apple Watch sur l'iPhone propose de très nombreux réglages : notifications, paramètres individuels pour les applications, disposition des applications, les coups d’œil, les sons et les effets haptique, Apple Pay, l’application Santé, les réglages de confidentialité. Le processus s'apparente presque à paramétrer un nouvel iPhone.

En ce qui concerne le fitness, l’Apple Watch n’apporte rien de nouveau par rapport à ce que les autres montres et bracelets connectés ont déjà introduit. Et elle n’intègre pas non plus de capteurs "magiques" qui changeraient la donne. Mais les applications Activité et Exercice développées par Apple sont de très loin les meilleures dans leur catégorie et sur n’importe quelle montre qui n’est spécifiquement dédiée au fitness (Samsung Gear, Android Wear, Pebble…).

L’interface avec ses trois anneaux (anneau Bouger, anneau M'entraîner et anneau Me lever) mesure les calories dépensées, le nombre de minutes d’activité "énergique" et la fréquence à laquelle on s’est levé de son siège. Cette présentation simple et claire est une fusion entre ce proposent le FuelBand de Nike, le Jawbone Up, le Fitbit et d’autres.

L’anneau Bouger compte les pas effectués, l’anneau Me lever (bleu) récompense le fait de se lever au moins une minute par heure sur une journée de 12 heures. Enfin, l’anneau M'entraîner (le vert) est le plus difficile à compléter. Personnellement, il m’a fallu marcher et bouger plus vite que mon rythme habituel pour y arriver. L'objectif de cet anneau peut être atteint avec d’autres exercices comme du vélo, ou une montée de marches via l’application Exercice.

Sur l’iPhone, l'application Activité affiche les progrès quotidiens avec des tableaux récapitulatifs. Sur la montre, on ne dispose que des progrès quotidiens sous forme d’anneaux et de graphiques horaire. Les récompenses se présentent sous la forme de petites médailles, à l’instar de ce que pratiquent les bracelets Nike, Fitbit et consorts. Il n’y a pas de composant social dans l’application Activité qui permettrait de se mesurer à d’autres utilisateurs. C’est une expérience solitaire.

La Watch est équipée d’un capteur de fréquence cardiaque situé à l’arrière du boîtier en contact avec la peau. Il utilise le même type de technologie optique à LED que d’autres montres et bracelets mais il est plus grand. Il surveille le rythme cardiaque toutes les 10 minutes ou lorsque on se sert de l’application Exercice. La montre ne suit donc pas le rythme cardiaque en continu comme le Band de Microsoft, le Basis Peak ou le Charge HR de Fitbit. Le capteur de cardiofréquence affiche beaucoup de variation. Comparé au Charge HR, les résultats entre les deux fluctuaient beaucoup.

Il faut savoir que la Watch permet de connecter un accessoire Bluetooth comme une ceinture cardio. Est-ce pour offrir une détection plus précise ? Nous y reviendrons en comparant plus formellement le capteur cardio de la Watch avec une ceinture cardio et d’autres bracelets. Le rythme cardiaque sert également à estimer les calories dépensées avec l’application Exercice. Cette dernière est assez dépouillée : on choisit son activité, son objectif (distance, calorie, temps…) et on appuie sur Démarrer. Elle se sert du GPS pour mesurer la distance parcourue et calibrer le podomètre. Nous avons trouvé que le comptage des pas était un peu plus généreux que sur le Charge HR, mais il ne s’agit pas d’une mesure clef sur l’application Activité contrairement à la consommation de calories.

Les données sont toutes envoyées à l’application Santé qui sert d’interface entre les applications Activité et Exercice et les applications de fitness tierces. Sur la montre, il est justement possible d'installer d’autres applications. Il n’y en a pas beaucoup pour le moment, mais nous pouvons citer Six Pack ou Lifesum. De nombreuses autres sont annoncées : Nike+, Strava, Runkeeper... La puissance de l’écosystème Apple va jouer en faveur de la Watch qui avec le temps pourrait bien devenir l’un des produits phare du marché du fitness. Cependant, le fait devoir garder son smartphone pour disposer de la fonction GPS pourrait rebuter les pratiquants les plus aguerris qui peuvent s’équiper de produits dédiés et autonome. Comme les montres Android Wear ou les Gear de Samsung, l’Apple Watch peut stocker de la musique : jusqu’à 2 Go sous la forme de listes de lecture synchronisées. C’est un mini iPod. La montre peut aussi servir de télécommande pour piloter la lecture de musique depuis l’iPhone. Mais synchroniser une liste de lecture via l’application Watch du téléphone est vraiment facile. Pas besoin d’iTunes ou d’un Mac. On apprécierait de pouvoir ajouter des albums, mais la création des listes de lecture à la volée est vraiment simple. Pour le moment, le stockage de musique et la lecture ne sont pas compatibles avec des applications tierces type Spotify.

Pour écouter, il faut connecter un casque ou des écouteurs Bluetooth car il n’y a pas de prise casque. On peut aussi se connecter à des enceintes Bluetooth et même se servir d’AirPlay.

Lors de nos essais, quelques coupures sont survenues comme si la connexion Bluetooth avait des ratés. La qualité sonore est bonne mais ces coupures se sont produites assez fréquemment. L'idée d'un retour à l'iPhone pour écouter de la musique a surgi dans notre esprit. Tous les écouteurs et enceintes Bluetooth que nous avons utilisés coupaient occasionnellement quelle que soit la source On peut se servir de la montre pour payer ses achats via Apple Pay, mais le système fonctionne différemment que sur iPhone. On enregistre ses cartes séparément puis on fait un double clic sur le bouton latéral pour afficher la carte de son choix. Apple Pay fonctionne indépendamment de l’iPhone et l’on peut s’en servir sans ce dernier. Pour le moment, le système n’est pas encore très répandu dans les commerces. Mais l’application est simple à utiliser et sa capacité à ouvrir les portes des chambres d'hôtel via NFC lui donne un certain potentiel pour l’avenir.

Nous nous sommes beaucoup amusés à utiliser la Watch. Mais il y a tant de fonctions que nous étions parfois un peu perdus. Il y a tant de façons d’interagir : un bouton, une couronne, des gestes tactiles variés, Siri. Il nous est arrivé de ne pas savoir quel moyen il fallait utiliser et d’avoir du mal à trouver le menu d’une application.

Nous avons aussi raté des notifications et découvert que la montre n’affiche rien si l’écran de l’iPhone est actif. Il y a tant de manières différentes de faire les choses sur la Watch et tant de fonctions que l’on peut se demander si elle n’est pas un peu surchargée et confuse. Si Apple affirme que toutes les interactions entre le porteur et la montre ne doivent pas excéder 5 à 10 secondes, il nous a parfois fallu beaucoup plus de temps pour trouver et ouvrir des applications.

L’interface gigogne peut devenir compliquée. Les réglages sont compliqués. Même essayer et acheter une Watch est compliqué. Est-ce intentionnel ? Les cadrans Apple permettent d’ajouter des "complications", un terme horloger connu des amateurs. Alors peut-être que la Watch s’enorgueillit d’être compliquée…

L’autonomie de la Watch est-elle bonne ou non ? Sur le modèle 38 mm, Apple annonce 18 heures d’autonomie. Nous avons testé un modèle 42 mm censé avoir une autonomie légèrement supérieure. Mais peu importe l'utilisation, la montre n’a jamais tenu plus d’une journée. Il faut recharger chaque soir. Certaines personnes n’y verront pas un problème car elles sont déjà habituées à recharger leur smartphone tous les soirs (voir plusieurs fois par jour...). Mais ce n’est pas notre cas. Devoir alimenter plus d’un appareil chaque jour devient vite ennuyeux et nous avons essayé des montres qui tenaient deux jours de plus. Et c’est très agréable.

Lors de nos journées "types" qui commencent vers 7 heures, l'Apple Watch n’a jamais tenu au-delà de 23 heures. Au cours de ces journées, nous écoutions parfois de la musique, recevions des notifications, naviguions régulièrement dans les applications et les fonctions. Il nous arrivait aussi de ne pas nous en servir du tout. La luminosité était réglée sur le niveau le plus bas ou intermédiaire (il y en a 3 en tout). Le capteur cardiaque était la plupart du temps désactivé.

Lors de l'utilisation de la navigation assistée pendant un voyage (trois heures aller et trois heures retour), la batterie est passée de 80 à 45%. En général, vers 14 / 15 heures, le niveau de batterie était tombé à 50%. C’est une des autonomies les plus faibles que nous ayons rencontrées sur les montres connectées récentes.

L'autonomie reste le plus gros défaut de l'Apple Watch. Il faut la charger tous les soirs. Impossible de s'en servir la nuit pour surveiller son sommeil ou bien se réveiller le matin avec une alarme silencieuse qui toque sur le poignet. Impossible également de recevoir une notification discrète. Les médecins et d’autres professionnels ayant à gérer des urgences et qui pourraient vouloir utiliser la Watch en guise de "Pager" doivent garder cela à l’esprit.

Si l’on écoute de la musique, la Watch est censée durer six heures et demie. Idem pour une séance d'entraînement continue. Nous devons encore approfondir nos tests d'autonomie avec la lecture de musique pour confirmer ce chiffre, mais une fois encore, c’est moins d’une journée. C’est certes suffisant pour une bonne séance de sport, mais pas assez pour une journée de marche à écouter ses albums favoris.

Un mode réserve coupe toutes les fonctions excepté l’heure et la date lorsque la montre se retrouve au bord de la panne sèche. Des modes intermédiaires auraient été appréciables afin de pouvoir interagir à minima et tirer jusqu’à deux jours d’autonomie.

La Watch se recharge avec un câble propriétaire livré dans la boîte. Il s’agit d’un disque magnétique qui se colle au dos du boîtier et charge la batterie par induction, comme sur la Moto 360 et de nombreux smartphones. Cela fait un accessoire en plus à ne pas oublier pour aller au travail ou en voyage. La charge est plus lente que sur un iPhone avec une prise Lightning. Une heure de charge ne remplit la batterie que d’un tiers. La Watch est disponible en trois versions : Sport dont le prix débute à 399 euros, Watch qui commence à 649 euros et Watch Edition qui débute à 11 000 euros. Tous les modèles ont la même configuration interne et les mêmes fonctions. Ce sont les matériaux et les designs qui diffèrent. La Sport est en aluminium anodisé avec un verre renforcé Ion-X. La Watch est en acier inoxydable avec un verre cristal de saphir. La Watch Edition est en or 18 carats.

Il y a différentes tailles, différentes finitions et de nombreux bracelets. Apple en propose 38. En fonction du bracelet que l’on choisit, le prix peut vite grimper. La Watch bracelet acier coûte 1 100 euros, 3 fois le prix d’une montre Android Wear. Et même avec le bracelet Apple le plus basique en caoutchouc synthétique, la Watch acier est toujours l’une des plus chères du marché.

Les modèles en acier et en or ont des verres saphir potentiellement plus résistants, mais il est difficile de juger pour le moment par rapport à la Sport. Ne parlons même pas de la Watch Edition, cette montre en or ne s'adresse qu'à très peu de personne.

Optez pour le modèle d’entrée de gamme en aluminium ou en acier et ne dépensez pas trop d’argent dans un bracelet. Les bracelets Apple sont bien finis mais ils sont chers. Attendre de voir ce que proposeront les fabricants de bracelets de marques tierces est, selon nous, la meilleure attitude à adopter pour le moment.

Restons lucides ! Vous n’avez pas besoin d’une Watch. A bien des égards, c’est un jouet. Une invention intelligente, un étonnant couteau-suisse, un compagnon qui peut faire gagner du temps, un assistant au poignet. Mais c’est aussi principalement un accessoire pour téléphone.

Dans les mois et les années à venir, cela pourrait changer. Avec les iPad, les Mac, l’Apple TV et ce qui reste à venir... la montre pourrait devenir une télécommande, un centre de contrôle pour les univers d'Apple. Peut-être deviendra-t-elle un sésame dans un monde d’appareils intelligents de voitures et de maisons connectés. Dans un monde comme celui-ci, une montre pourrait effectivement devenir essentielle. Mais ce jour n’est pas encore arrivé. Il faudra aussi que l’autonomie de la Watch s’améliore. Une journée ne suffit pas ! La Pebble une de nos montres préférées dispose d'une autonomie de plusieurs jours, ce qui donne l’impression d’utiliser une montre classique. Apple semble avoir sacrifié l’autonomie de la Watch pour offrir mieux et plus en termes de fonctions, d’options et d’applications.

L'Apple Watch a un énorme potentiel, beaucoup d’applications, un design magnifique et un énorme défaut : son autonomie. Si vous êtes curieux de découvrir la dernière nouveauté Apple et avez 650 euros à dépenser, la Watch d’entrée de gamme peut être sympa à explorer. Pour les autres, il vaut mieux attendre de voir comment les applications évoluent, comment les défauts sont résolus et si une mise à jour logicielle améliore l’autonomie. Il y a tout le temps pour se décider.

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Test de Fitbit Ionic, La concurrence de l'Apple Watch

Les plus Autonomie de quatre jours supérieure à celle de la plupart des montres connectées tout en proposant un suivi permanent du rythme cardiaque, confortable à porter, étanche, GPS, de nouveaux cadrans, un app store mieux fourni, compatible Android et iOS, application mobile et réseau social excellents

Les moins La fonction paiement sans contact Fitbit Pay pas encore disponible en France, la lecture de musique compliquée à utiliser, quelques bugs de fonctionnemen

Sommaire D’un côté, la montre connectée de fitness Ionic de Fitbit a progressé grâce à l’ajout de cadrans et d’applications. Mais de l’autre, certaines de ses fonctions ne sont pas aussi abouties que celles de la concurrence.

Avant la sortie de l’Apple Watch, les Pebble étaient nos smartwatch favorites, offrant tout ce que leurs concurrentes ne savaient proposer : étanche, affichage permanent, autonomie d’une semaine, des cadrans géniaux. En 2016, Fitbit a fait l’acquisition du fabricant de montres connectées Pebble et annoncé la fin du support technique à partir de cette année. Pebble n’est plus désormais.

Mais heureusement, la relève est là. C’est la Ionic, première montre connectée de Fitbit. Nous l’avions essayé il y a quelques mois mais elle nous avait laissé un peu dubitatif quant à la promesse d’une offre applicative enrichie et de nouveaux cadrans. Et bien finalement, les choses ont évolué et grâce au travail des anciens salariés de Pebble qui bossent sur l’app store de Fitbit, cela va beaucoup mieux. Des douzaines de cadrans et d’applications ont fait leur apparition sur la Ionic. Si vous cherchez un traqueur d’activité avec une pointe d’esprit Pebble, elle vous séduira. Il lui manque encore quelques-uns des extras que d’autres montres connectées maitrisent mieux, notamment l’Apple Watch. Mais on peut dire que Fitbit est sur la bonne voie.

Nous nous sommes amusés à installer un cadran rétro sur la Ionic, ce qui nous a tout de suite attiré des compliments. Il y a désormais des douzaines de cadrans pour la montre Fitbit qui la rendre vraiment plus fun. Les nostalgiques de Pebble y reconnaitront certainement des modèles familiers.

On trouve de tout : du marrant, du ridicule, du moche, du nerd. Il faut mettre de côté son sérieux pour s’amuser à explorer la collection. En tout cas, c’est un soulagement de voir que la Ionic a enfin une vraie personnalité.

n a adoré le cadran réplique de montre Casio qui colle parfaitement au format carré de la Ionic. Les cadrans avec les animaux virtuels, que l’on nourrit avec ses pas, sont drôles. Il y a même un cadran expérimental du Fitbit Lab qui forme des motifs en fonction des infos qu’on lui donne dans la journée sur notre humeur et notre énergie.

Le seul point regrettable est que l’on ne peut installer qu’un seul cadra à la fois. La montre ne les stocke pas et il faut systématiquement repasser par l’application mobile pour en changer. Certains cadrans sont payants, mais on ne sait pas comment les acheter étant donné que l’on ne peut pas payer depuis l’application Fitbit. Difficile aussi de rechercher un cadran ou d’enregistrer ceux que l’on a déjà dans une bibliothèque.

En revanche, on peut installer plusieurs applications à la fois. On en trouve des douzaines désormais, dont de très nombreuses gratuites. Il y a un peu de tout. Une application de chasse au trésor qui transforme les pas accomplis en bijoux, une application pour contrôler les ampoules connectées Philips Hue, un jeu de tests rapides… La qualité est assez variable, mais il y a beaucoup plus de choix qu’auparavant, ce qui est déjà un bon point.

Nous avons beaucoup aimé le confort de la Ionic. Son boitier en acier et son bracelet caoutchouc sont un peu volumineux, mais elle est agréable à porter. Ses trois boutons physiques sont un avantage par rapport à l’Apple Watch et d’autres montres lorsque l’on fait de la course à pied ou à la salle de sport. Mais ils ne dispensent pas d’avoir à passer par l’écran tactile, ce qui est dommage car celui-ci est lent et difficile à faire défiler. Le design carré ne plaira pas à tout le monde, mais il se porte pourtant très bien.

Le suivi du rythme cardiaque est rapide et facile d’accès. Beaucoup de cadrans intègrent l’information ce qui facilite la lecture. La Ionic offre une très bonne autonomie d’au moins quatre jours. Cela veut dire que l’on peut la porter en permanence pendant la moitié de la semaine sans la recharger et s’en servir pour analyser son sommeil. Bien que nous n’ayons pas vraiment confiance dans les mesures sur le sommeil léger, paradoxal et profond, l’idée d’avoir une vue d’ensemble sur sa nuit est tout de même appréciable. L’application Santé d’Apple peut faire le suivi du sommeil, mais l’autonomie de la Watch n’est pas suffisante pour pouvoir la porter la nuit sans avoir à la recharger le matin.

Par ailleurs, le fait que la Ionic soit compatible iOS et Android permet de partager plus facilement des défis de fitness avec des membres de sa famille ou amis qui utilisent aussi l’application Fitbit. Cette dernière est toujours notre option préférée pour la présentation des activités sportives. Les statistiques et les objectifs sont clairement organisés, il y a des tonnes d’outils et d’applications tierces compatibles et le réseau social de Fitbit est probablement le meilleur. Les fonctions de fitness social de l’Apple Watch ne sont pas encore à la hauteur.

En revanche, le coaching de Fitbit nous a laissé sur notre faim. Le motivateur pour accomplir plus de pas est pas mal, mais l’accompagnement sur les exercices et les observations générales sur les performances ne sont pas assez stimulants. Il faut avouer que ni l’Apple Watch ni la plupart des autres bracelets et montres connectés ne font mieux.

Tout n’est pas entièrement satisfaisant avec la Ionic. Elle n’a pas de microphone pour les appels ou l’accès à un assistant vocal. Fitbit annonce le paiement sans contact grâce à une puce NFC intégrée, mais pour le moment aucune banque française n’accepte son application Fitbit Pay.

On peut stocker de la musique sur la montre comme avec l’Apple Watch, la Gear de Samsung ou d’autres montres Android Wear, mais il faut la charger via un ordinateur, ce qui n’est pas franchement pratique.

Et même si l’on apprécie l’offre enrichie en applications et cadrans, nous avons constaté pas mal de plantages.

Par ailleurs, un certain nombre de fonctions présentes sur l’Apple Watch nous ont manqué : l’assistance vocale, la navigation assistée, la réception des appels téléphoniques, le paiement, l’écoute d’albums, répondre aux SMS. Comparé à cela, les extras que proposent la Ionic tombent un peu à plat et rendent le tarif de 350 euros un peu dur à avaler.

Nous aurions préféré une version à 200 euros avec seulement quelques-unes de ces options (GPS, NFC, musique). Ou alors une version à 300 euros mais qui ferait mieux au niveau des extras. La Ionic n’est pas loin d’être vraiment meilleure qu’elle ne l’était et elle est désormais notre modèle préféré chez Fitbit. Mais à ce prix, nous ne la recommandons pas à tout le monde. L’Alta HR est un meilleur choix et plus abordable. Peut-être que Fitbit finira par baisser le tarif de la Ionic ou proposera une version plus abordable. À suivre…

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Tests de la montre connectée Apple Watch Series 3

Les plus la connexion cellulaire fonctionne bien pour les appels, les courriels, SMS et Siri, la synchronisation de la musique est plus simple, de nouveaux cadrans et un meilleur suivi des activités, ajout d’un baromètre et de l’étanchéité tout en conservant le format de l’année dernière.

Les moins l’autonomie sérieusement entamée par les appels téléphoniques et les activités avec GPS, le boitier 42mm est cher, il faut toujours un iPhone pour l’installation, les frais supplémentaires pour l’abonnement cellulaire et l’accès à Apple Music.

Sommaire L’Apple Watch Series 3 est la meilleure montre connectée polyvalente que vous puissiez trouver actuellement, mais son autonomie limitée avec certains usages et le surcoût d’un abonnement cellulaire et d’autres options n’en font pas un choix incontournable.

L’Apple Watch Series 3 inaugure une connexion cellulaire permettant de passer et recevoir des appels. Nous avons passé une semaine avec cette montre en nous en servant comme téléphone, traqueur d’activité, iPod et portefeuille électronique Apple Pay.

L’ironie d’un tel produit est qu’il vous connecte encore plus, dans des lieux où vous ne pourriez ou voudriez pas dégainer votre mobile. Mais pour autant, ce n’est pas un micro iPhone. Il n’y a pas d’appareil photo et répondre à des courriels et des SMS n’est pas aussi simple, idem pour la lecture de textes ou de vidéos.

Et il faut tout de même un iPhone pour la paramétrer et accéder à la plupart de ses fonctionnalités. Il faut aussi savoir que les appels téléphoniques et les activités utilisant le GPS entament sérieusement l’autonomie. Apple a encore du boulot pour tirer le maximum du suivi d’activités fitness et peaufiner son logiciel. Sachez enfin qu’il vous faudra souscrire un abonnement spécifique pour la connexion cellulaire et pour le service Apple Music si vous voulez profiter au maximum des capacités de la montre. Mais cela dit, la Series 3 est la meilleure montre connectée que nous ayons essayée jusqu’ici.

En France, la connexion cellulaire voix et données de l’Apple Watch Series 3 n’est pour le moment disponible que sur le réseau 4G de l’opérateur Orange. Il faut posséder au moins un iPhone 6s avec iOS 11 et utiliser le même opérateur pour les deux produits. Orange propose une formule à 5 euros par mois pour un forfait voix/données pour l’Apple Watch Series 3 adossé à un forfait mobile. Il faut savoir que ce forfait ne permet pas d’utiliser la montre hors France métropolitaine pour les appels et les données en itinérance.

La montre utilise le même numéro téléphonique que celui du smartphone. Elle ne fonctionne pas avec les terminaux Android et il faut absolument utiliser son iPhone pour la configurer et installer des applications.

La connexion réseau fonctionne de la manière suivante : d’abord, l’Apple Watch cherche à se connecter à l’iPhone en Bluetooth puis en Wi-Fi si d’aventure elle n’y parvient pas. Et si ni l’un ni l’autre ne sont disponibles, alors elle bascule sur le réseau cellulaire 4G qui reste autrement coupé pour économiser la batterie.

Ce basculement automatique est géré par la nouvelle puce sans fil W2 qui contribue à préserver l’autonomie. Un nouveau cadran nommé Explorer indique la puissance du réseau disponible sous forme de quatre points verts. On peut aussi consulter cette information depuis le centre de contrôle où se trouvent les réglages rapides.

Nous avons pu accéder aux applications Apple, mais pas à toutes les applications tierces. Il faut aussi savoir que pour pouvoir recevoir des notifications d’applications tierces, il faut que l’iPhone, où qu’il se trouve, soit lui-même connecté afin que la montre puisse communiquer avec lui via le cloud. Donc, même si vous n’emportez pas votre iPhone, il faut qu’il soit allumé et connecté.

Par ailleurs, on ne peut pas installer d’applications directement depuis la montre, contrairement aux montres Android Wear et Samsung Gear. En revanche, nous avons pu consulter notre boite mail sans problème dont les paramètres sont automatiquement importés depuis l’iPhone. Pour passer les appels, on peut composer le numéro sur le clavier numérique à l’écran ou bien sélectionner l’un des contacts du répertoire.

L’assistant virtuel Siri parle désormais et ne se contente plus de réponses sous forme de texte. Mais notre expérience fut plutôt décevante dans ce domaine car Siri nous demandait souvent de nous reporter à l’iPhone, ce qui ne sert pas à grand-chose si on ne l’a pas avec soi…

Aux Etats-Unis, les premiers tests de l’Apple Watch Series 3 ont mis en lumière des problèmes de connexion cellulaire. Apple a rapidement reconnu leur existence et promis un correctif dans les meilleurs délais. Nous n’avons pas expérimenté ce souci durant notre essai. En revanche, nous avons connu quelques bizarreries avec les notifications pour iMessages et des applications tierces comme Twitter. Il faut que l’iPhone soit connecté au réseau même si on ne l’a pas avec soi sinon on ne reçoit pas de notifications. L’autre problème est que beaucoup d’applications ne sont pas encore compatibles avec la 4G.

Les Apple Watch ont toujours pu stocker de la musique, mais elles géraient mal la synchronisation avec le service cloud Apple Music. Heureusement, watchOS 4 automatise mieux ce processus et cela change tout. On peut aussi ajouter et synchroniser des morceaux pendant que la montre est en charge. Mais tout cela n’est valable que pour Apple Music. Exit Spotify, Deezer et autres Google Play.

Bien entendu, vous aurez toujours accès à votre bibliothèque iTunes, mais si vous voulez gérer vos listes de lecture ou utiliser le streaming en direct, il vous faudra un abonnement. Il vous faudra aussi investir dans des écouteurs sans fil. Les AirPods sont bien évidemment parfaitement optimisés, à tel point que nous les considérons comme un accessoire indispensable. Ils se connectent instantanément, la plupart du temps, mais il nous est arrivé de devoir les sélectionner manuellement. Au final, cette Apple Watch nous donne enfin le sentiment d’avoir un iPod au poignet et c’est assez génial.

La plupart des utilisateurs se servent de l’Apple Watch comme traqueur d’activité. La Series 3 hérite d’un nouveau capteur, un altimètre barométrique qui enregistre le nombre de marches gravies. Et tous les modèles sont étanches à 50 mètres (même en mer) et dotés d’un GPS.

WatchOS 4 renforce un peu l’accompagnement (coaching) en vous sollicitant davantage, notamment pour vous inciter à boucler vos objectifs quotidiens. L’Apple Watch vient lentement au coaching directement sur la montre, mais plus que les bracelets Fitbit qui se reposent davantage sur l’application mobile.

Le suivi du rythme cardiaque propose désormais plus de comptes-rendus graphiques, notamment pour les périodes de repos et de marche. On est plus proche de ce que proposent les Samsung Gear en termes d’informations affichées sur la montre.

En revanche, en ce qui concerne le nombre de pas et les sessions d'entraînement, les graphiques journaliers ne sont pas listés aussi clairement. Les temps de récupération sont calculés sur trois minutes après la fin d’une activité, mais on ne nous explique pas ce que ces chiffres signifient. La seule notification d’ordre médical que la montre délivre est une alerte si votre rythme cardiaque au repos dépasse un certain seuil que vous aurez fixé au préalable. L’application d’activité présente sur la montre est encore assez sommaire et il en est de même de son corollaire sur l’iPhone. Elles s’améliorent, mais il y a encore du travail. Apple sépare les informations entre l’application Santé et l’application Activité là où celle de Fitbit sur iPhone unifie les données sur un seul tableau de bord. Et puis Apple ne dispose pas de la puissante communauté d’utilisateurs sur Android et iOS qui fait aussi l’attrait des produits Fitbit. Pour poursuivre la comparaison avec cette marque, l’une des fonctions qui manquent le plus à l’Apple Watch Series 3 est le suivi du sommeil. Ce qui nous amène à parler de l’autonomie.

Avant la Series 3, l’autonomie des Apple Watch était leur principal défaut. Au terme d’une semaine passée avec ce nouveau modèle cellulaire, nous pouvons confirmer que cela reste le talon d’Achille des montres Apple. Cependant, cette autonomie varie grandement selon ce que l’on fait.

Par xemple, les appels téléphoniques videront la batterie en un rien de temps. Nous avons fait un essai en passant un appel de 30 minutes puis en marchant avec le GPS et le capteur de rythme cardiaque activés tout en écoutant de la musique et en consultant les mails. Résultat, 50% de la batterie envolés dans le milieu de l’après-midi. Certes, nous avons utilisé toutes les fonctions disponibles, mais n’est-ce pas le but ?

Mais disons tout de même que le système de gestion des connexions entre le Bluetooth, le Wi-Fi et le cellulaire est efficace et rend la Series 3 plus endurante que les montres à connexion cellulaire telles que la LG Watch Sport et la Gear S3 de Samsung. En revanche, nous vous conseillons de surveiller votre mode de connexion pour ne pas avoir de mauvaise surprise. La nouvelle version du logiciel introduit de nouveaux cadrans, une manière plus simple de démarrer et arrêter les entrainements et de contrôler la musique en même temps. On peut par exemple programmer une liste de lecture qui sera lancée automatiquement au début d’un entrainement.

Le nouveau cadran Siri n’est pas sans rappeler le système Google Now sur Android Wear avec ses cartes thématiques mises à jour en permanence. Parfois il diffuse des informations pertinentes (météo, actualités, objectifs de fitness, rendez-vous…), parfois c’est plus aléatoire. Et la présentation est vilaine. C’est un petit pas positif vers une assistance active, mais cet empilement de notifications n’est pas ce que nous attendons.

En revanche, il faut souligner que la Series 3 est nettement plus véloce que les modèles de 2016, notamment pour le lancement des applications et les performances générales.

L’Apple Watch Series 3 est assez complète et compense mieux ses faiblesses que beaucoup de ses concurrentes. Mais certaines tirent leur épingle du jeu sur des domaines spécifiques.

La Samsung Gear : la montre Apple a l’avantage de s’intégrer directement à l’écosystème iOS et ses principales fonctionnalités alors que les montres Gear s’appuient sur un app store propriétaire. Cela dit, nous n’avons pas encore testé la Gear Sport ni le Gear Fit 2 Pro qui est davantage un bracelet de fitness.

Les montres Android Wear : pour le moment, WatchOS 4 et la montre Apple sont beaucoup plus aboutis qu’Android Wear 2.0. On trouve de nombreux modèles de montres Android et certaines sont à des prix cassés. Mais aucune ne propose la même combinaison capteur de fréquence cardiaque, connexion cellulaire, baromètre, paiement mobile et étanchéité.

Bracelets Fitbit : nous apprécions vraiment le package nutrition, sommeil et objectifs partagés que propose Fitbit. Apple ne fait pas la même chose. Le baromètre et les graphiques sur le rythme cardiaque sont de bons progrès, mais l’autonomie est loin derrière Fitbit qui dépasse les 4 jours. La montre Fitbit Ionic est étanche, elle intègre le paiement mobile et des applications mais ses fonctions intelligentes, notamment pour la musique, sont nettement inférieures à celles de l’Apple Watch.

Le design de la Series 3 est pour ainsi dire identique à celui de la Series 2 et l’on peut réutiliser les mêmes bracelets. Hormis la connexion cellulaire, les différences sont minimes et les possesseurs d’une Series 2 n’ont pas de vraie raison de passer sur la 3, sauf à vouloir absolument la fonction téléphone.

L’Apple Watch Series 1 version 2016 est toujours disponible. Elle est plus abordable (à partir de 269 euros) mais ne dispose ni du GPS ni de la connexion 4G. Mais c’est une bonne option pour ceux qui ne sont pas des accrocs du fitness et cherchent une bonne montre connectée.

Quant à la première Apple Watch, elle est toujours dans le coup. Si la vôtre fonctionne encore, pourquoi en changer ? Parce que vous y gagnerez des performances supérieures, l’étanchéité, le comptage des pas, le GPS et la connexion cellulaire.

Est-ce que vous avez vraiment besoin d’une Apple Watch ? Non. Et le fait que les nouvelles fonctionnalités entament l’autonomie donne l’impression de devoir faire un compromis. Mais cette montre est vraiment plaisante à utiliser et nous avons apprécié le fait de ne pas avoir à systématiquement emporter notre téléphone. Il faut juste modérer ses attentes en matière d’autonomie et être prêt à payer un supplément pour le forfait cellulaire et des écouteurs sans fil si l’on veut profiter au maximum de ce que la Series 3 peut faire.

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10 Coisas que você precisa saber antes de comprar seu próximo Relógio:

Iniciarei este texto buscando ser breve na elucidação dos objetivos que serão alcançados nos 10 tópicos abaixo, onde após o término da leitura, você terá condições de realizar uma boa compra, dentro de parâmetros justos de valores, escolhendo o melhor tipo de Relógio para o uso adequado, e com níveis aceitáveis de segurança e apoio no pós venda.

Comprar um Relógio não pode ser encarado como uma compra qualquer, e muito menos quando o Relógio em questão possuir um valor elevado do investimento que será feito. Trato a compra de Relógios como investimentos, pois em alguns casos (não na maioria) o Relógio poderá sofrer uma valorização ao longo dos anos (casos clássicos de Rolexes, Omegas, Panerais) e o valor de venda futura poderá facilmente superar o valor de compra, principalmente quando o Relógio for de alguma série limitada, e se tornar uma peça “Vintage”.

Antes de partir para o seu tão esperado “investimento” é extremamente importante observar os pontos abaixo para que não fique frustrado, não faça um investimento ruim, e o principal – não fique sem apoio em um pós venda e com possíveis peças de reposição, pois afinal, um relógio não foi feito para durar para sempre. Ele até poderá durar para “sempre”, mas da mesma forma que um carro carece de manutenção e cuidados, um Relógio seguirá a mesma linha.

Antes de pensarmos na relojoaria atual, devemos conhecer a história que há por detrás do relógio, pois o mesmo é uma das primeiras criações realizadas pelos humanos. Conhecendo um pouco da história, percebemos que não se trata de apenas um instrumento que marca a passagem do tempo, mas trata-se de um instrumento que revolucionou o mundo. Como eles surgiram? Qual foi o primeiro instrumento responsável pela medição do tempo? Bem, vamos lá, pois a história é longa.

Começamos pelo relógio que tinha como base o Sol. O mesmo é chamado basicamente de relógio de Sol e utilizava apenas uma vara (que era denominada de Gnômon). Para realizar a marcação do tempo, usava-se a sombra feita por uma vara que ficava presa ao chão, com isso era possível determinar as horas, pois uma vez que a sombra estivesse longa indicaria o amanhecer (sombra inclinada para o oeste) ou o entardecer (sombra inclinada para o leste) e quando estivesse com a sombra mínima indicaria o meio dia. Esse relógio surge por volta de 3.500 a.C. no Egito e o mesmo apresenta desvantagens, como: funcionava apenas durante o dia e em dias limpos, ou seja, dias que não estivessem nublados.

Com o intuito de solucionar os problemas citados anteriormente, foi criado o relógio que utilizava a água para medir o tempo. O mesmo era denominado de relógio de água ou de Clepsidra (palavra de origem grega “klepsydra”, formada por “kleptein” que significa roubar e “hydor” que significa água). Esse relógio era composto por dois recipientes, sendo que o primeiro continha água, o mesmo possuía um furo para que a água escorresse de uma maneira controlada e o outro recipiente ficava abaixo do primeiro, nele havia uma escala de níveis. Ele era responsável por receber a água do primeiro recipiente. A Clepsidra possibilitou marcar o tempo de uma maneira mais exata, em comparação com o relógio de Sol.

Com o passar do tempo, o primeiro recipiente foi alterado para o formato de um cone, com a finalidade de reduzir os problemas causados pela variação da pressão da água.

Documentos antigos mostram sinais da utilização da Clepsidra no reinado do imperador chinês Hoang-Ti (por volta de 2.679 a.C.) Atualmente, possuímos Clepsidras modernas, em alguns países do mundo como: Estados Unidos, Austrália, Canaá e no Brasil (em Porto Alegre).

O relógio de água era de difícil transporte, para solucionar essa questão foi criado o relógio de areia, mais conhecido como ampulheta (vem do romano “ampulla” que quer dizer redoma). Esse relógio nada mais é do que a formação de duas âmbulas transparentes que se unem em suas pontas. Na união das extremidades das âmbulas há um furo que permite a passagem de areia de uma âmbula para outra, isso faz com que as âmbulas fiquem interligadas. Para medir o tempo, basta deixar acumular a areia em uma âmbula e virar a ampulheta, deixando a âmbula que está vazia para baixo, pois com a ação da gravidade, a areia cairá, passará através do furo e chegará a âmbula vazia. O tempo medido pela ampulheta pode variar, pois existem ampulhetas que correspondem à 1 minuto e outras que podem corresponder até à horas. O primeiro relógio de areia surgiu na Europa, no século VIII, criado por um monge cujo nome é Liutprando. Ele criou com o intuito de utilizá-la na Catedral de Chartres, localizada na França.

Passados sete séculos desde a criação da ampulheta, Peter Henlein, no século XV (por volta de 1500), cria o primeiro relógio de bolso. O mesmo foi denominado de “Ovo de Nuremberg”, em razão de sua forma. O Ovo de Nuremberg é um relógio de corda manual e possui uma marcha de quarenta horas de corda, ou seja, depois de dada a corda completa, ele fica quarenta horas funcionando, sem precisar dar corda novamente. O relógio desenvolvido por Peter Henlein era composto completamente de ferro. É importante ressaltar que na época citada (1500), o relógio de bolso possuía apenas um único ponteiro, o da hora. O ponteiro de minutos surgiu por volta de 170 anos depois e o ponteiro de segundos foi surgir só em 1765. Atualmente, apesar de não serem comuns, os relógios de bolso ainda são utilizados e comercializados, você pode encomendar um direto conosco (contato@thauro.com.br), basta entrar em contato que atenderemos sua solicitação.

Falar de relógio de pêndulo e não falar de Galileu Galilei é um pecado. Galileu era físico, matemático e astrônomo. O mesmo foi responsável pela criação e desenvolvimento do isocronismo de pêndulos que mais tarde foi materializado em um relógio de pêndulo criado por Christian Huygens, por volta do ano de 1656, na Holanda. O relógio de pêndulo é formado basicamente por um pêndulo, que nada mais é que um objeto maciço que fica ligado a uma haste que possui um peso bem inferior do que ele. O movimento desse objeto e dessa haste é determinado pela força da gravidade. Para o funcionamento do mesmo são utilizados dois tipos de energia: energia cinética e energia potencial gravitacional. Sendo que esta é utilizada quando o objeto juntamente com a haste sobem e aquela é utilizada na medida em que o mesmo desce.

Depois de tanta história envolvida, chegou a hora de falar dos nossos queridos e amados relógios de pulso! Existem três histórias que contam como os mesmos surgiram. A primeira refere-se à encomenda feita da irmã de Napoleão ao relojoeiro Breguet. Breguet foi o responsável por criar o primeiro relógio de pulso, em 1810. A segunda história refere-se à empresa Patek Philippe (fim do século XIX) e a terceira história, a mais conhecida, refere-se ao relógio criado por Cartier para Santos Dumont (1904). Dumont, como todos conhecem, era um aeronata brasileiro e o fato de ter que tirar o relógio do bolso durante os voos encomodava-o muito, em razão disso, pediu ao seu amigo Louis Cartier para que o mesmo fizesse um relógio que ficasse preso ao pulso. Dumont foi um indivíduo importante na difusão do relógio de pulso masculino, pois naquela época o relógio de pulso era visto como um adereço voltado para as mulheres. Atualmente, possuímos uma variedade enorme de relógios de pulso, relógios que variam desde movimentos (leia a matéria escrita por Thallys sobre esse assunto) até materiais envolvidos na confecção dos mesmos, como titânio, aço ou aço ionizado. Falando em relógios de pulso, na Thauro você encontra uma infinidade de modelos, como por exemplo, relógios digitais, automáticos, cronógrafos, femininos, etc. Na Thauro você pode encontrar também o relógio mais aguardado para 2017, o Orient Netuno, além de encontrar a reedição do lendário Bulova Moon, o relógio que foi utilizado na Apollo 15. Seja no mar, na terra, no céu ou na Lua, a Thauro sempre estará com você oferecendo os melhores relógios com os melhores preços.

Caso tenham dúvidas, sugestões e possíveis correções encaminhe um e-mail para nosso time: contato@thauro.com.br, que teremos o maior prazer em interagir e trocar informações!

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Date de publication : mercredi 21 septembre 2016 à 18:30

Les plus Cette nouvelle Apple Watch est plus rapide, son OS est bien meilleur. Elle intègre un GPS, elle est étanche jusqu’à 50 mètres dans l’eau douce ou de mer et son écran est plus lumineux.

Les moins L’autonomie qui ne progresse pas et qui souffre beaucoup lorsque l’on se sert du GPS pour courir. Pas d’affichage permanent, un boitier un peu plus épais et plus lourd. La nécessité d’utiliser un iPhone

Sommaire L’Apple Watch revient dans une version orientée sport avec des fonctions pour la natation et un GPS. Mais tous ceux qui ne sont ni nageurs ni coureurs devraient s’en tenir à la première Apple Watch.

L’Apple Watch Series 2 arrive un an et demi après la première montre Apple avec de nombreuses évolutions. Cette nouvelle version est nettement plus rapide, son écran plus lumineux et elle est bien meilleure pour pratiquer des activités sportives. Il y a deux choses qui n’ont pas changé : le design et l’autonomie.

En revanche, le nouveau système d’exploitation WatchOS 3 est une vraiment une excellente mise à jour qui est par ailleurs disponible gratuitement pour tous les possesseurs d’une Apple Watch.

La Series 2 est proposée en trois finitions : aluminium, acier inoxydable et céramique qui remplace la version en or à plus de 10.000 euros. De nombreux styles de bracelets sont disponibles, de même que deux tailles de boitier : 38 et 42mm.

Les prix débutent à 419 euros pour le modèle 38m en aluminium et vont jusqu’à 1 449 euros pour le modèle en céramique. Apple propose également deux versions spéciales Hermès et Nike avec des bracelets et des cadrans numériques spécifiques. Pour notre part, nous recommandons le modèle de base en aluminium, surtout pour ceux qui veulent une montre de sport légère.

Il faut savoir que l’Apple Watch originale a eu droit à une cure de jouvence. Elle reçoit le même processeur que la Series 2 et la mise à jour WatchOS 3. Elle n’a pas de GPS, n’est pas étanche pour nager mais résiste aux éclaboussures et coûte 100 euros de moins (à partir de 319 euros). Notre sentiment est que c’est peut-être le meilleur choix pour tous ceux qui n’ont pas besoin d’un GPS ni d’une montre étanche faire de la natation.

Clairement, l’Apple Watch Series 2 est devenue notre montre connectée favorite. Mais elle n’est pas forcément pour tout le monde. Si n’avez pas de smartwatch et songez à franchir le pas, optez pour elle. Ceux qui ont déjà une Watch 1 peuvent passer à WatchOS 3 et changer le bracelet. Vous pouvez aussi attendre notre essai comparatif avec la nouvelle Watch Series 1. Un nombre croissant de montres et de bracelets connectés sont étanches. Apple se place dans le peloton de tête dans ce domaine en proposant une étanchéité jusqu’à 50 mètres aussi bien en eau douce que dans la mer.

La Series 2 est capable d’enregistrer un entrainement de natation et d’évaluer les calories consommées. Nous n’avons pas pu l’essayer dans ces conditions. En revanche, nous avons saisi chaque occasion de la tremper dans l’eau et sous la douche.

À l’instar de nombreux traqueurs d’activité, la Watch Series 2 embarque un GPS qui permet de suivre un entrainement de course à pied. Il s’active dès que l’on s’éloigne de l’iPhone, ce qui veut dire que l’on peut aller courir sans emporter son smartphone et récupérer les données sur le parcours. L’application génère une carte que l’on peut ensuite consulter depuis l’iPhone via l’application Activités. Nous avons pu apprécier la précision et la rapidité du GPS à l’occasion de plusieurs sorties pédestres.

L’Apple Watch 2 sera utile pour les coureurs, mais il ne faut pas perdre de vue que l’utilisation du GPS a une incidence non négligeable sur l’autonomie. Comptez environ 5 heures, voire moins si vous écoutez de la musique. Apple recommande de couper le capteur de rythme cardiaque pour prolonger l’autonomie lorsque l’on utilise le GPS. Quoi qu’il en soit, les autres montres et bracelets de fitness tels que le Fitbit Surge tiennent plus longtemps.

Apple annonce que son écran est deux fois plus lumineux que celui de la première Apple Watch. Nous avons pu le confirmer lors d’une journée d’été où il était parfaitement lisible en plein soleil. En revanche, il manque toujours un affichage permanent comme celui que l’on trouve sur les Pebble Time et la prochaine Pebble Time 2, de nombreuses montres Android Wear ainsi que les Samsung Galaxy Gear S2 et S3. Signalons tout de même que l’écran s’illumine dès que l’on tapote dessus ou que l’on lève le poignet pour le regarder.

La nouvelle mise à jour WatchOS 3 est disponible pour les Apple Watch existantes ainsi que les nouveaux modèles. Elle améliore l’ergonomie dans plusieurs domaines. On dispose d’un accès rapide aux applications sans avoir à naviguer dans la grille-bulles qui était présente par défaut et n’était pas très claire. Il faut savoir que les applications tournent en arrière-plan, ce qui veut dire celles les plus récemment utilisées se chargent plus vite.

Parmi les nouveautés qui nous plaisent, signalons l’application Home pour les appareils compatibles HomeKit, de nouveaux cadrans dont deux sont dédiés au sport ou encore la très utile application pense-bête.Pour la partie fitness, les données clé (vitesse, rythme cardiaque, durée…) sont synthétisées sur un seul écran au lieu d’avoir à balayer pour les consulter une à une. Cette mise à jour apporte une véritable amélioration et nous vous encourageons à l’installer sans hésiter.

L’Apple Watch Series 2 est équipée du nouveau processeur S2 qui est censé améliorer la vitesse de chargement. Dans l’ensemble, la montre nous a paru modérément plus rapide.

La Series 2 est un peu plus épaisse que le premier modèle. Elle héberge une batterie plus puissante pour gérer l’ajout du GPS et des fonctions fitness tout en offrant un peu plus d’autonomie que les 18 annoncées par Apple. On passe une journée complète avec à la fin encore 20-25% de batterie.

Si cette nouvelle Apple Watch s’est bien améliorée pour la partie activités sportives, il lui manque encore quelques qualités. Pas de suivi du sommeil étant donné que l’autonomie limitée oblige à la recharger tous les soirs. Les bracelets Fitbit et d’autres marques proposent cette fonction. L’information sur le rythme cardiaque n’est accessible en direct que lorsque l’on entame un entrainement alors qu’un Charge 2 de Fitbit vous permet d’y accéder à tout moment.

Par ailleurs, Fitbit conserve toujours une longueur d’avance en matière de fonctionnalités sociales avec une communauté beaucoup plus étendue et dynamique. Gageons que l’Apple Watch progressera dans ce domaine avec une offre d’applications de fitness plus étoffée. En revanche, on apprécie bien la manière dont la montre Apple mesure l’activité quotidienne avec son système à trois anneaux. C’est à la fois clair et motivant. Quelques outils pour gérer la partie nutrition et poids seraient les bienvenus.

’assistant virtuel Siri fonctionne vraiment très bien sur la montre, que ce soit pour lancer un appel téléphonique, programmer une alarme ou contrôler la musique en voiture via l’iPhone.

Il y a beaucoup d’applications pour l’Apple Watch, mais il lui manque cependant quelque chose que proposent les Gear S2 et Pebble Time : un magasin pour télécharger des cadrans. On dispose de 14 cadrans préinstallés sur la montre, et c’est tout. Ce ne sont pourtant pas les possibilités qui manquent et l’on se demande pourquoi Apple n’en a pas encore profité. On peut vite se lasser des cadrans proposés et il est assez absurde de devoir acheter la version spéciale Nike+ ou Hermès si l’on veut en avoir un nouveau.

Autre absence, celle d’une connectivité cellulaire qui permettrait à la montre de rester connectée indépendamment de l’iPhone. La Gear S3 de Samsung et quelques autres montres Android le proposent, ce qui permet de passer des appels, consulter ses messages ou encore d’écouter de la musique en streaming. Apple a vraisemblablement fait l’impasse pour des raisons d’autonomie.

Les montres connectées et les bracelets d’activité ne sont toujours pas des gadgets indispensables. Cela dit, nous avons tout de même réussi à leur trouver une utilité dans notre quotidien. On peut dire que cette Apple Watch Series 2 est vraiment meilleure mais qu’il manque encore quelques atouts essentiels : une autonomie plus importante, un écran actif en permanence, une connectivité qui la rende indépendante du smartphone et capable de se connecter à d’autres appareils, comme par exemple les nouveaux écouteurs sans fil AirPods ou les appareils compatibles HomeKit. Pour le moment, l’Apple Watch Series 2 est un traqueur d’activité, une télécommande du smartphone, un petit iPod, un gadget amusant.

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